Author - walid assaidi

programme de Résidences et d’Accompagnement

Dans le cadre du programme de Résidences et d’Accompagnement #Scène_audace #Act_Now #أبدع_الان piloté par le Centre Culturel International de Hammamet et soutenu par Tfanen – Tunisie Créative

Dimanche 21 Avril 2019
Sélection de la phase d’incubation : Audition des projets de musiques.

#Scène_audace #Act_Now

Dans le cadre du programme #Scène_audace #Act_Now piloté par le Centre Culturel International de Hammamet et soutenu par Tunisie_Creative @Tfannen
Mme Ouafa Belgacem Experte en mobilisation de ressources et fondatrice de @CultureFundingWatch à encadré un atelier de formation : “Introduction à la mobilisation de ressources (Levée de fonds)” au profit de l’équipe du CCIH et des incubés retenus à la phase 2.

ZINELABIDINE BENAÏSSA À DAR SEBASTIAN

Universitaire féru d’écologie et grand connaisseur de volatiles en tous genres, Zinelabidine Benaïssa voit le jour au cœur de l’ancien Tunis, dans le quartier de Bab Souika, le 10 octobre 1956. Il est le fils d’un imprimeur francophone et d’une femme au foyer. Autant dire qu’il est le fruit de l’union d’Eole et de Gaïa ! Il obtient en 1979 sa maîtrise en Lettres françaises à l’École Normale Supérieure de Tunis, entame ses études de 3e cycle sur les rimes des « Lais de Marie de France », avant d’enchaîner sur « L’idéologie dans L’Été 1914 de Roger-Martin du Gard ». Il enseigne la langue et la littérature du Moyen-âge d’abord à l’École Normale Supérieure de Sousse (1981-1989) puis intègre la Faculté des Lettres de Manouba où il est actuellement Professeur.
Avant de se consacrer à l’enseignement, Zinelabidine Benaïssa s’essaie à la critique socio-politique et cinématographique vers la fin des années 70, en publiant des articles dans « Démocratie » et « Tunis-hebdo ». Bien plus tard, il entame une carrière de conteur et dirige à partir de 2002 une collection intitulée « Miroir d’encre » aux éditions Cérès. Il publie plusieurs contes parmi lesquels : « Le Fils du vent », « Sloughi et la panthère », « L’Île », « Les Pigeons de l’impasse Catherine », « L’Arc noir », « Zina la loutre et autres contes », « Il Pleut », « Le Bus », « La Montagne aux oiseaux », « Le Fantôme de Sebastian ». Ces contes, destinés à la jeunesse, ont ceci de particulier, ils sont narrés par des adolescents. Les lieux, les temps, se confondent. Tous les paysages naturels de la Tunisie y défilent dans une parade bigarrée. Le texte coule de la source visitée qui se transforme en ferment littéraire. Le lecteur perçoit bien que l’auteur est un grand amoureux de la nature et affectionne tout particulièrement les oiseaux que l’on découvre sous les noms les plus divers. Certains de ces contes offrent en outre la part belle aux illustrations effectuées par plusieurs dessinateurs. Les contes de Zinelabidine Benaïssa œuvrent à initier les enfants dès leur plus jeune âge à la lecture, ouvrent le champ de l’imaginaire, explorent les sentiers de la vie, invitent à goûter aux plaisirs de la découverte…

Rym Kheriji

LES RÉSIDENCES DU CCIH : UN SEUL MAÎTRE, L’ART

Au CCIH, on n’a pas le temps de chômer. Les artistes qui y viennent en résidence de création s’y plaisent tant et si bien qu’ils reviennent à chaque fois qu’ils en ont l’occasion. Quant à ceux qui n’ont pas encore goûté aux délices du lieu et qui foulent le sol du domaine pour la première fois, ils s’y sentent tout de suite à leur aise. L’immersion sefait sans apnée ni chaussures à semelles de plomb. L’inspiration entre sans frapper, les idées se succèdent en traits bien alignés. L’envie de travailler s’impose comme une évidence pour ceux qui troquent le laborieux contre le jouissif.
Cette semaine, c’est au tour de Raoudha Abdallah. La jeune chanteuse a déjà à son actif plusieurs expériences toutes aussi belles qu’innovantes. Elle vient peaufiner un spectacle qu’elle prépare pour divers rendez-vous en Tunisie et ailleurs, accompagnée par Mouna Chtourou au Oud et de jeunes musiciens très prometteurs : Mehdi Bahri à la guitare, Marwen Soltana à la basse, Youssef Soltana à la batterie et Selim Arjoun au clavier/piano. Ces artistes ne sont pas des techniciens de l’art. Ils brillent par la maestria de leur jeu autant que par les énergies créatives qui émanent d’eux. Ils ont aussi chacun un univers, une histoire, un lien indéfectible avec l’art et ses dérivés. Apprendre à titre d’exemple que Mouna Chtourou a fondé un centre culturel baptisé « El Duende » n’est pas du tout étonnant. Lorsque l’on aime on ne compte pas dit le proverbe. Le CCIH est toujours là pour ceux qui souhaitent hisser la culture au rang qui est le sien, à savoir un art de vivre, une philosophie de vie, un hymne à la vie…
Rym Kheriji
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Crédit Photos ©Mohamed Hosni
#Etudiant_Stagiaire au @CCIH #ISBAN

Présentation du livre «LES Califes Maudits» avec Mme Hela Ouardi.

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Les Rencontres de Dar Sebastian
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Rencontre avec Mme.Hela Ouardi
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Modérateur M.Chafik Ghorbel
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Que dire de Hela Ouardi ? Comment la présenter sans répéter ce qui a déjà été dit à propos d’elle ? Lorsqu’une femme brille dans un milieu qui, inutile de le nier, continue à être l’apanage des hommes, il est nécessaire de la saluer. Saluer sa perspicacité, sa persévérance, son audace. Plusieurs chercheures dans diverses disciplines font honneur à l’Université tunisienne. Dans le domaine des Lettres, Olfa Youssef, Amel Grami et Raja Ben Slama, entre autres, tracent leurs chemins sans se soucier des risques, en ayant pour seul objectif de faire valoir les lumières du savoir. Dans cette équipe que l’on pourrait qualifier à l’américaine de « Dream Team », il faut désormais compter avec Hela Ouardi. Ayant effectué ses études supérieures entre la Tunisie et la France, elle a commencé à arpenter les sentiers de la recherche en s’immergeant dans l’œuvre d’un écrivain joueur, Raymond Queneau. Elle s’attelle par la suite à la figure de l’androgyne, avant de faire un virage à 180°. Vient alors sa passion pour des sujets brûlants, explosifs. Il faut dire que l’actualité dans le monde pointe cette direction pour ceux qui sont en quête de sens à donner au non-sens. S’il y a un fil directeur entre ces différents centres d’intérêt, c’est bien la volonté de décrypter les rouages les plus sophistiqués, de relativiser la pensée unique, d’aller au-delà du visible, de ce qui semble évident. Le pouvoir, ce délicieux piège, est un jeu complexe et dangereux, y compris pour les plus téméraires. Les deux dernières œuvres de Hela Ouardi, « Les derniers jours de Muhammad » et « Les Califes maudits » volume 1, « La déchirure », ont animé bien des débats et fait couler beaucoup d’encre dans les deux rives de la Méditerranée. Leur auteure se montre à chaque fois habitée par la même passion : le désir de partager ses trouvailles, de rectifier ce qui peut l’être d’une histoire longtemps occultée pour des raisons évidentes…
Rym Kheriji

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Crédit Photos ©Abderrahmene El Mabrouk
#Etudiant_Stagiaire au @CCIH #ISBAN

Résidence @CCIH_ISMT

#Résidences_َArtistiques
#Stage et Résidence @CCIH_ISMT (du 14 au 18 Avril 2019)
L’Institut Supérieur de Musique de Tunis présente son concert de sortie de résidence « SALHI » le Mercredi 17 Avril 2019 à 19h00 au CCIH
A cette occasion le CCIH a le plaisir de vous convier à assister à cette performance estudiantine encadrée par Mme.MYRIEM LAKHOUA
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Date : Mercredi 17 Avril 2019
Heure : 19H00
Lieu : à #Trans_Arts CCIH
Tout public, accès gratuit.
NB: Les places sont limitées sous réservation sur le lien suivant

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfkZcGOTxwLR6-8XYqZ8XJh6wY7KzYZEBRiT48E79MaoLCHOw/viewform?usp=pp_url
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PARTICIPANTS :

Myriem Lakhoua : Responsable Projet ;

Musiciens professionnels:
Rchid el Mejri : Chanteur professionnel ;
Saida khadhra : Danseuse professionnelle ;
Neji Chouaieb : Joueur professionnel de Zokra ;
Chiheb El Fazeni : Percussionniste professionnel.

Etudiants :

Spécialité Musicologie :

– Mediha Nechi ; Master ;
– Ahmed El Hamdi ; Master ;
– Youssef Weslati ; Master.

Spécialité Chant :

Abir Klai ; Master ;
Hana Guesmi ; Master ;
Asma Cherif : 3ème année ;
Eya Daghnouj ; Doctorante ;
Nawres Zammit ; 1ère année ;
Seif Eddine Bani ; 3ème année ;
Taysir Zammit ; 1ère année ;
Bouthaina Hosni ;2ème année ;
Rania Ben Dhafer ; 2ème année ;
Mahr Hammami ; doctorante ;
Montassar Bazzez : Master ;
Hajer Bazhroune :2ème année ;
Khaoula Taoues : Master.

Spécialité Percussion:

Jihed Bedoui ;1ère année Master ;
Achraf Douzi ; 3ème année licence ;
Ahmed Yezidi; 3ème année licence ;

Spécialité Vent:
Houssem Timoumi (Zokra); 1ère année
Hassan Mchaykhi (rabeba) : 2ème Master

Programme de Résidences et d’Accompagnement

#Scène_Audace
Phase1 ; Pré-Incubation

Du mardi 26 au vendredi 29 Mars 2019
Résidence chorégraphique du projet “ à la recherche ” de Synda JEBALI avec la formatrice Malek SEBAI

Production et coordination : Synda JBALI et Aya RBAI
Mise en scène et chorégraphie : Synda JBALI
Sénographie : Aya REBAI
Musique : Zied MEDDEB HAMROUNI /Hedi FAHEM
Son : Med Seddik KEKLI ( Trappa )
Vidéo / Conception graphique : Saif Eddine RAIS

#Scène_Audace #أبدع_الان
@TfanenTunisieCreative
@ccihmmca
#وزارة_الشؤون_الثقافية
#المركز_الثقافي_الدولي_بالحمامات
#تونس_المبدعة_تفنن #أبدع_الان
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